L'élection présidentielle de 2002 a imposé au second tour les représentants de deux minorités (19% et 16%), encore minoritaires prises ensemble (19% et 16% ne font que 35%).
Cela s'est reproduit en 2017 (24 % et 21 % des exprimés ne totalisant que 45 % des exprimés ; 18 % et 16 % des inscrits ne totalisant que 34 % des inscrits).
Pourtant, parmi les candidats éliminés au premier tour, il s'en serait peut-être trouvé d'autres qui auraient eu la préférence "en second" de davantage d'électeurs que les deux sélectionnés par le mode de scrutin actuel.
Ceux-ci ne seraient-ils pas aussi - voire davantage - légitimes de figurer au deuxième tour que n'importe lequel des deux minoritaires sélectionnés ?
Le mode de scrutin actuel, simpliste et binaire, ne crée-t-il pas la division plutôt que l'union ?
Comment appelle-t-on celui qui divise ?
Questionnement :
Cela est quasiment possible en attribuant des points à plusieurs candidats :